- Pour + ou - 60 biscuits pas si secs que ça.
- En 1 h de tambouille + 25 min de cuisson + 2 h de séchage.
- Avec un arabica, une verveine ou un verre de lait.
Avant de mettre la main à la pasta, on dépose dans un saladier 250 g de farine, 1 c. à café de levure chimique, 75 g de sucre vanillé, 100 g de beurre salé ramolli et coupé en petits morceaux, le zeste d’1 citron non traité, 3 c. à soupe de crème fraiche et 1 jaune d’œuf.
Du bout des doigts, on amalgame patiemment l’ensemble des ingrédients de façon à ce le mariage du sec avec le mouillé ne fasse ni grumeaux ni gros tas. Et puis de toute la main, on pétrit rapidement le tout afin d’obtenir une pâte bien homogène, bien souple et bien parfumée (si c’est trop collant, on ajoute un peu de farine, dans le cas contraire, on ajoute de la crème ou de l’eau).
L’heure étant au préchauffage du four, on le positionne à 180°C, puis on se munit de deux tôles et on les habille de papier cuisson.
Avant d’étaler la moitié de la pâte sur env. 5 mm d’épaisseur, on farine le plan de travail et le rouleau.
Après l’avoir fait, on découpe à l’emporte pièce des petites étoiles, des petites lunes ou des petits cœurs, puis on les soulève à la spatule et on les dépose sur l’une des tôles.
Quand la première fournée est prête, on l’enfourne pendant plus ou moins 12 min (les biscuits doivent rester tendres, mais pas mous pour autant), pendant qu’on prépare la deuxième.
Quand tous les biscuits sont sortis du four, on leur prépare (dans un bol) un nappage en technicolor, composé de 150 g de sucre glace, de quelques gouttes de jus de betterave et de + ou - 2 c. à soupe de jus de citron (on n’arrose pas trop : le glaçage doit être à la fois bien épais et bien couvrant).
Quand le glaçage est prêt, on l’étale au pinceau, biscuit par biscuit, avec autant de tendresse que de patience, et on le parsème de quelques pincées de graines de pavot.
Tant que la peinture est encore fraiche, on attend quelques heures avant de croquer dedans. Et dès que le grignotage est terminé, on conserve les biscuits dans une boîte métallique (pour les jours ou les semaines qui viennent) ou au congélo (pour la saint glin-glin).
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